Invité de « C’est mieux le matin » sur France 3 Nord-Pas-de-Calais-Picardie


Ce matin, la très sympathique équipe de l’émission « C’est mieux le matin », sur France 3 Nord-Pas-de-Calais-Picardie m’a accueilli pour présenter mon livre « Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, Internet, jeux vidéo… ».
Retrouvez ici l’intégralité de l’émission (dans le menu « Edition(s) disponible(s) », cliquez sur la date du 17 novembre).
L’article consacré à mon livre sur le site de France 3 est consultable ici.

Le Dauphiné Libéré présente mon livre


Ce matin, le Dauphiné Libéré m’a interviewé dans le cadre de l’article qu’il a consacré au colloque « Les mineurs et les nouvelles technologies » qui se tenait aujourd’hui à Chamonix, à l’initiative de l’association Femmes et Enfants du Monde, et auquel j’ai participé.

Parmi les autres intervenants, se trouvaient :
• Jean Delprat, administrateur de l’Unaf
• Pierre-Yves Lebeau, capitaine de Police, chef d ela plate-forme nationale de signalements de l’OCLCTIC (Office centrale de lutte contre la criminalité liée aux Technologies de l’information et de la Communication)
• Frédéric Malon, commissaire divisionnaire, chef de l’Office Central pour la répression des Violences aux personnes
• Arnaud Gruselle, directeur de la fondation pour l’Enfance
• Bernard Mars, gendarmerie nationale, commandant de la brigade de prévention de la délinquance juvénile de Lyon
• David Aumonier, magistrat, vice-procureur au tribunal de grande instance de Lyon.

Cité dans un article de l’Express consacré aux dangers du téléphone portable


Dans son édition de ce matin, l’hebdomadaire L’Express consacre un long dossier aux nouvelles technologies. Dans un des articles, Guillaume Grallet s’interroge sur les dangers du téléphone portable. Les principales recommandations qu’il donne (donner un téléphone mobile le plus tard possible aux enfants, utiliser un kit mains libres…) sont presque toutes extraites de mon livre « Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, internet, jeux vidéo… »

Un rapport sur la faisabilité technique du filtrage des sites pédo-pornographiques

En juin dernier, Nadine Morano, secrétaire d’Etat en charge de la Famille, avait confié une étude de faisabilité technique sur le filtrage des sites pédo-pornographiques au Forum des droits sur l’Internet (FDI). Sa présidente Isabelle Falque-Pierrotin avait même été priée de rendre ses conclusions avant le 24 juin. « Nous n’aurons pas terminé », avait-elle d’emblée prévenu lors de la table ronde organisée le 12 juin sur la protection de l’enfance dans le cadre des assises du numériques. Elle a tenu parole, pourrait-on dire. Puisque le rapport n’a été remis que la semaine dernière ! Il est rendu public ce matin.

Quelles sont les principales conclusions ? Laurent Baup, juriste et chargé de mission au FDI, en recense quatre. « Nous suggérons que l’OCLCTIC [L’Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux Technologies de l’ Information et de la Communication, au sein de la Police Nationale] soit chargé de dresser une liste des adresses à bloquer ; que cette liste soit transmise pour validation à une autorité morale ; que cette autorité transmette à son tour la liste aux Fournisseurs d’accès à Internet, qui devront chacun proposer la solution technique de filtrage la mieux adaptée à leur réseau ; et qu’un contrôle a posteriori de toute la procédure et du blocage des sites requis puisse être effectué par l’autorité morale. »

En France, le blocage des sites pédo-pornographiques est un serpent de mer qui remonte régulièrement à la surface depuis huit ans. Il n’est toujours pas entré en application dans l’Hexagone, alors qu’il est effectif depuis plusieurs années au Royaume-Uni et en Norvège. Réclamé depuis longtemps par les associations de protection des enfants, il était rejeté par les fournisseurs d’accès Internet (FAI), soucieux de ne pas engager leur responsabilité dans ce domaine.

A peine nommée en mars dernier au gouvernement en qualité de secrétaire d’Etat à la Famille, Nadine Morano s’empare du sujet, avant que celui-ci n’attire l’attention également de la ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie. La rivalité entre les deux femmes avait d’ailleurs provoqué quelques cafouillages : en juin, « MAM » avait annoncé être parvenu à un accord avec les FAI sur ce dossier, mais l’annonce était un peu prématurée.

C’est dans ce contexte que le FDI s’est vu confier ce délicat dossier, sous la forme d’une étude de faisabilité technique. Pour ne froisser personne, un groupe de travail a planché pendant cinq mois sur le sujet. Réunissant les FAI, les opérateurs de téléphonie mobile, mais aussi Google et Microsoft, des associations de protection des enfants (1), des experts en droits ou en informatique, ainsi que les représentants des administrations concernées (2).

« Le résultat constitue une avancée, car c’est la première fois que tous les acteurs concernés par le sujet se mettent d’accord », insiste Laurent Baup. Mais celui-ci s’empresse de prendre quelques précautions. « Ce n’est pas au Forum de recommander ou non la mise en place du filtrage des sites pédo-pornographiques. Il s’agit d’une décision politique qui revient aux pouvoirs publics. Le Forum peut juste se prononcer sur les conditions nécessaires à la bonne mise en œuvre du filtrage. »

Autre bémol sur la portée : « Le filtrage doit être limité aux seuls sites pédo-pornographiques : il est hors de question d’y inclure les jeux d’argent, la contrefaçon, la pornographie… », précise le représentant du FDI.

Car les FAI n’ont qu’une seule crainte collatérale : après le filtrage des sites pédo-pornographiques (qui sont illégaux), va-t-on leur demande de filtrer davantage comme les sites X ? « Les sites pornographiques ne sont pas illégaux : j’ai le droit d’aller les consulter et si je veux en protéger mes enfants, c’est à moi d’installer un logiciel de contrôle parental sur l’ordinateur familial », estime Laurent Baup.

Comparée aux dispositifs retenus en Grande-Bretagne et en Norvège, la recommandation du Forum se distingue sur deux points : tout d’abord, la constitution de la liste noire des sites pédo-pornographiques, qui est confiée à une association en Angleterre, par exemple, relèvera en France des pouvoirs publics.

« L’OCLCTIC est déjà bien armé pour cela : il peut s’appuyer sur la coopération internationale avec d’autres polices du monde, sur les plates-formes de signalement des sites illicites mises à la disposition des internautes français et sur ses propres moyens d’enquête », détaille Laurent Baup.

Mais dans un souci de respect des libertés fondamentales et de transparence, cette liste devra être validée par une autorité morale, auprès de qui les sites incriminés pourront éventuellement exercer un recours.

La deuxième grande différence par rapport aux initiatives similaires à l’étranger porte sur les méthodes employées pour filtrer. Le Royaume-Uni a adopté un filtrage hybride sur les DNS (noms de domaine) et les URL (les pages des sites). La Norvège pratique le filtrage des seuls DNS et ses FAI se sont vus imposer des techniques de filtrage.

En France, si les recommandations du Forum sont suivies d’effet, un cahier des charges sera élaboré avec l’aide du Conseil Général des Technologies de l’Information (CGTI). Mais chaque FAI sera libre de choisir la technique de filtrage la plus appropriée pour respecter ce cahier des charges, en fonction de la nature de son réseau.

« Les FAI français ont conclu entre eux de nombreux accords de peering, c’est-à-dire d’échange du trafic Internet : ces accords nécessitent une interconnexion physique et virtuelle entre les réseaux, ce qui complique le filtrage », révèle Laurent Baup.

Reste à négocier le nerf de la guerre : qui va payer quoi ? « Les pouvoirs publics devront supporter le coût d’élaboration de la liste, le fonctionnement de l’autorité morale et le cryptage, ainsi que la sécurisation des procédures de transmission de la liste, compte Laurent Baup. L’intégration et l’exploitation des dispositifs de filtrage au sein des infrastructures des FAI devront donner lieu à une négociation entre les acteurs concernés et l’État. »

(1) Action Innocence France, Confédération Nationale des Associations Familiales Catholiques, l’Unaf…

(2) la Défenseure des Enfants, la Délégation interministérielle à la Famille, la Délégation aux usages de l’Internet, le ministère de l’Intérieur, le ministère de la Défense…

Jacques Henno
(article paru sur Vnunet.fr le 4 novembre 2008)

Comment les opérateurs de téléphonie mobile se font de l’argent avec les SMS spams


J’ai été, hier soir, l’invité, avec deux autres spécialistes de l’usage des nouvelles technologies, de l’émission « Bouge la France », sur la chaîne Public Sénat, qui organisait un débat sur le thème « Le texto c toxik ? ». J’ai pu expliquer pourquoi les adolescents, qui sont à un âge où leur corps change, préfèrent communiquer avec les autres sans se montrer : les SMS font partie de toute une panoplie d’outils de communication (emails, messageries instantanée, mondes virtuels…) qui leur permettent de ne pas être vus. J’ai mis en garde les familles contre le scandale des SMS surtaxés, que je dénonce dans mon enquête « Les 90 questions que tous les parents se posent ». Et j’ai pu également attirer l’attention des auditeurs sur un autre scandale : les SMS « spams », c’est-à-dire les SMS non-sollicités qui nous proposent des arnaques ou des services payants, peuvent rapporter de l’argent aux opérateurs de téléphonie mobile. En effet, Bouygues, Orange et SFR nous invitent à dénoncer ces spams en les renvoyant, depuis notre téléphone portable, au 33 700. A ma question : « Combien cela coûte-t-il ? », Jean-Marie Danjou, délégué général de l’AFOM (Association Française des Opérateurs Mobiles), n’a pu que répondre : « Le prix d’un SMS ». Autrement dit, quand vous dénoncez un spam sur mobile, votre opérateur encaisse entre 12 et 15 centimes d’euros (hors forfait) !
Retrouvez cette émission ci-dessous (le débat sur les SMS intervient entre la 28ème et la 44ème minute).

Les adolescents peuvent-ils devenir accros aux jeux vidéo ?


Priska Ducoeurjoly, journaliste au quotidien Sud-Ouest, m’a interviewé hier, dans Sud-Ouest Dimanche, sur le risque, pour les adolescents de devenir « addicts » aux jeux vidéo. Ce danger existe, mais ne concerne exclusivement que certains adolescents, déprimés ou vivants dans un contexte familial particulier, et adeptes de ce que l’on appelle les jeux vidéo en ligne massivement multijoueurs (exemple type : World of Warcraft). Vous pouvez retrouver l’intégralité de cet entretien en cliquant ici.

Omega TV m’a interviewé sur les enfants et les nouvelles technologies

Omega TV, qui se définit comme « la première web TV dédiée au partage d’expériences », m’a interviewé sur le thème des enfants et des nouvelles technologies.

Trois vidéos sont actuellement en ligne :

Internet : protégez vos enfants !

Comment contrôler l’utilisation d’Internet ?

Portable: aucun danger prouvé scientifiquement !

Four years of commitment to improve kids’ safety in the digital worlds

One of the topics I cover with great interest, as a journalist and as the father of two sons and a daughter, is « children and the digital worlds ».

The Digital Worlds can bring content of great value to the lives of our kids. For example, the Internet provides immense quantities of useful information.

But the Digital Worlds, as the mirrors of human activities in the real world, can be the places of unwanted encounters. A child who isn’t seeking objectionable content can come across it inadvertently or someone may deliberately force such content upon him.

That is the reason why I published a book in 2004 entitled « Children in front of the screens: pornography, the real violence », with a preface by Dr. Aldo Naouri, a famous French pediatrician.

After this publication, I was part of the French Government’s Interdepartmental Working group on Internet and Kids’ Safety, in 2005.The written contribution I prepared within the framework of this working group was: « Filtering software and parental control: an incentive for the development of 100% reliable products ».

In December 2006, I sent a letter to the 577 French MPs asking for a better protection of children online. After reading my mail, four MPs immediately requested clarification from the Head of the French Department in charge of Family Policy (ministre de la Famille).

In January 2007, I gave a lecture before the Head of the French Department in charge of Youth and Sports (ministre de la Jeunesse et des Sports): « Is there an impact of pornography on young people? « .

In June 2007, I submitted various proposals for a safer Internet to the Unit E-6 (eContent and Safer Internet) of the Directorate-General for Information Society and Media of the European Commission.

In January 2008, I published a book entitled « The 90 questions all parents are asking themselves about mobile phones,the Internet, video games… » to help families with the uses of online technologies by children (see http://www.nosenfants.fr – it’s in French, sorry!). As far as I’m aware of, this book is unique in France: it is the only one to address all aspects of new technologies and to give parents easy to implement pieces of advice.

In this book, I raise, among other issues, a problem that concerns all families, worldwide: the control tools currently available to families are not powerful enough. *.

In July 2008, I created a Linkedin group about kid’s safety in the digital worlds (see http://www.kids-safety-in-the-digital-worlds.com/).

In August 2008, I met with an adviser of the Head of the French Department in charge of Family Policy (ministre de la Famille) to ask for a better protection of children online.

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At the invitation of parents associations, local administrations, associations for the defense of children and social organizations, I have given about thirty lectures for the parents on the theme of children and the new technologies.

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*E.g.: SafeSearch, provided by Google.
When preparing the book (« The 90 questions all parents are asking themselves about mobile phones, the Internet, video games… »), in July 2007, I tested the Filtering tools of Google, Microsoft Live Search and Yahoo!. After chosing the strict filtering option (Filter both explicit text and explicit images), I entered « sexe » (French word for « sex ») in Google, Live Search and Yahoo!. Live Search returned no result. Google and Yahoo! returned pages of results, but I didn’t find any objectionable content. But both Google and Yahoo! displayed sponsored links for adult web sites.

In July 2007, I sent an e-mail to the PR specialists of Google and Yahoo!. Soon after, Yahoo! undertook to change its filtering process so that no more « Adult » sponsored links would be displayed when the strict filtering option was activated. Anne-Gabrielle Dauba-Pantanacce however, PR specialist at Google France, simply answered that Google did its best to keep SafeSearch as up-to-date and comprehensive as possible. « If you find websites containing offensive content in your results, please contact us. »

In July 2008, I repeated the exact same test. The situation has not evolved in a year and seems to be even worse. On http://www.nosenfants.fr/2008/07/when-preparing-book-90-questions-all.html, you will find 3 snapshots of the test I made last July. I entered « sexe » on Google, Live Search and Yahoo!. The results speak for themselves. Click on the pictures to enlarge them.
The first snapshot is from Google: please note the sponsored link and the fourth result of the search, both of them Adult content.

Réponse de Google sur les failles de SafeSearch

Voici le texte que Myriam Boublil, du service communication de Google France, m’a fait parvenir, en réponse à mes remarques sur les failles de SafeSearchvoir ci-dessous (SafeSearch est l’outil mis à la disposition par Google pour filtrer les contenus indésirables).

« Nous avons un certain nombre de mesures en place pour prévenir toute publicité inappropriée sur Google, notamment avec le filtrage SafeSearch strict (contenu adulte). Nous avons de puissants processus automatiques et manuels pour empêcher ce type de publicité d’apparaître sur Google. Malheureusement, certaines publicités peuvent occasionnellement passer à travers nos systèmes automatiques, mais dès que nous en prenons connaissance, nous les retirons. »

Les enfants face aux écrans : quatre ans d’engagement

Je suis de très près, à titre professionnel, mais aussi personnel – ma femme et moi sommes parents de trois jeunes enfants – l’impact des écrans sur les enfants.

J’ai édité en 2004 un livre intitulé Les enfants face aux écrans : pornographie, la vraie violence, préfacé par le Dr Aldo Naouri, pédiatre.

A la suite de cette publication, j’ai été invité à faire partie, en tant que membre permanent, du groupe de travail interministériel Les usages de l’Internet et la protection de l’enfance, qui avait préparé la conférence de la Famille 2005 (c’est à la suite de cet événement que les FAI – fournisseurs d’accès à Internet – se sont engagés à proposer gratuitement à leur abonnés des logiciels de filtrage). Pour ce groupe de travail, j’avais rédigé une contribution écrite, Logiciels de filtrage et de contrôle parental : pour une incitation à la mise au point de produits fiables à 100%.

En décembre 2006, j’ai adressé une lettre ouverte aux députés français, intitulée Pour une meilleure protection des enfants en ligne. Neuf députés – sur 577 – m’ont répondu. Quatre d’entre eux avaient demandé, par le biais d’une question écrite, des éclaircissements au ministre délégué à la Sécurité Sociale, aux Personnes Agées, aux Personnes Handicapées et à la Famille (à l’époque Philippe Bas). A ma connaissance, celui-ci n’a jamais répondu.

En janvier 2007, je suis intervenu devant le groupe de travail « L’image des jeunes », constitué par le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative, sur le thème « Y-a-t-il un impact de la pornographie sur les jeunes ? ».

En juin 2007, j’ai répondu à une enquête de la Commission Européenne, dans le cadre du programme Safer Internet, sur la protection des enfants sur Internet. Ma réponse est consultable ici.

En juillet 2007, j’avais testé l’efficacité des outils de filtrage proposés par les moteurs de recherche. Après avoir activé ces filtres au « maximum », c’est-à-dire, après avoir choisi le filtrage le plus strict possible, j’avais tapé « sexe » comme terme de recherche sur Google, Live Search (Microsoft) et Yahoo !. Sur Yahoo!, trois publicités inappropriées étaient apparues. Contacté, Yahoo! France avait fini par répondre, après quelques hésitations : « Nous avons fait part de vos remarques à Christophe Parcot, directeur général Yahoo France et vice-président Europe du Sud. Celui-ci a pris la décision de ne plus afficher de lien sponsorisé adulte quand le filtre est activé. »

En janvier 2008, j’ai publié Les 90 questions que tous les parents se posent : téléphone mobile, internet, jeux vidéo… A ma connaissance ce livre est unique en France : il est le seul à aborder tous les aspects des nouvelles technologies et à donner aux parents des conseils pratiques, voire techniques, mais faciles à mettre en œuvre.

Dans cet ouvrage, je soulève, entre autres, deux problèmes, qui concernent toutes les familles françaises :

les outils de contrôle parental actuellement mis à la disposition des familles par les FAI (Fournisseurs d’Accès à Internet) ne sont pas assez performants ;

les SMS surtaxés constituent un fardeau financier pour les familles.

En juillet 2008, j’ai créé sur le réseau social professionnel en ligne Linkedin un groupe destiné à toutes les personnes intéressées, à travers le monde, par la protection des enfants lorsque ceux-ci utilisent les nouvelles technologies : www.kids-safety-in-the-digital-worlds.com

Enfin, j’ai donné une trentaine de conférences sur le thème des enfants et des nouvelles technologies, devant des parents, à l’invitation d’associations de parents d’élèves (Apel, FCPE…), de collectivités locales (Conseil général des Bouches-du-Rhône, Mairie de Gardanne, projet Quartier numérique du 2e arrondissement de Paris, Canton de Pont de Beauvoisin, en Isère…), d’UDAF (Union Départementale des Associations Familiales), d’associations de défense des enfants (Fondation pour l’Enfance…) et d’organismes sociaux (Codes, groupes de parents financés par les Allocations Familiales…).